Vers un Plan d’adaptation aux changements climatiques (PACC)
Relever le défi climatique
Le climat change et on peut déjà en ressentir les effets sur notre territoire. Nos milieux de vie font face à des aléas climatiques croissants tels que pluies abondantes, vents violents ou encore, canicules aggravées par les îlots de chaleur. Ces événements ont des conséquences sociales, économiques et environnementales considérables et entraînent des coûts importants pour s’y adapter.
Aux premières loges de ces bouleversements, les municipalités doivent repenser les façons de s’y préparer. Proactive, notre Ville réalise une démarche collaborative en vue de doter la collectivité johannaise d’un premier Plan d’adaptation aux changements climatiques (PACC) pour 2024.
S’adapter
Le plan d’adaptation se base sur des données climatiques scientifiques et sur un portrait des événements survenus à Saint-Jean-sur-Richelieu pour évaluer les risques et les vulnérabilités auxquels nous sommes exposés.
Cette analyse nous sert ensuite à identifier des solutions concrètes pour réduire les effets néfastes de ces changements sur les personnes, les milieux naturels et les infrastructures. Parmi les actions possibles, citons par exemple : plantation de végétaux, restauration de milieux humides, aménagement de rues éponges, lutte aux espèces exotiques envahissantes, etc.
-
Partager Exprimez-vous : Priorisation des actions sur Facebook Partager Exprimez-vous : Priorisation des actions sur Twitter Partager Exprimez-vous : Priorisation des actions sur Linkedin Courriel Exprimez-vous : Priorisation des actions lien
Le projet du Plan d'adaptation aux changements climatiques propose six grandes orientations, qui visent à limiter les risques et vulnérabilités du territoire johannais. Vous souhaitez proposer des actions à mettre en œuvre ? Partagez-les ici!
Vos observations enrichiront les réflexions et orienteront le travail des équipes dédiées à l'élaboration du projet.
Voir toutes les idées
Ajoutez votre idée
il y a 3 mois
Revenir immédiatement à l'ancienne méthode de déneigement des rues avec terre-plein
La nouvelle méthode de pousser la neige vers le trottoir pour ensuite la ramasser avec souffleuses et camions augmente drastiquement le nombre de véhicules lourds et l'émission de GES.
il y a 3 mois
Fleurir le toit des abribus
Aux Pays-Bas, ces jolies fleurs et plantes sur le toit des abribus ont trois objectifs bien spécifiques : d’abord offrir aux abeilles de quoi butiner, puis rafraîchir l’atmosphère et enfin améliorer la qualité de l’air. Aujourd’hui, 316 abris de bus ont été végétalisés, une fierté pour la ville et ses habitants que de permettre la préservation de l’environnement à leur échelle. Conjointement à cette mesure, les bus d’Utrecht se mettent également à l’électrique. À terme, ils devraient tous rouler de manière plus écologique. La commune disposera de transports en commun neutres en carbone d’ici 2028. Une résolution qu’il serait judicieux d’appliquer dans le monde entier. https://creapills.com/initiatives-positives-durables-villes-20191105
il y a 3 mois
Transformer les déchets en carburant
Plutôt que de laisser les matières résiduelles non recyclables terminer leur vie au dépotoir, certaines entreprises ont inventé des procédés ingénieux pour les convertir en éthanol et en méthanol. Ces produits sont ensuite transformés en biocarburants, ce qui permet de réduire la dépendance à l'extraction d'énergies fossiles telles que le pétrole, le gaz naturel et le charbon, tout en réduisant les gaz à effet de serre. Il faut savoir que les énergies fossiles, en brûlant, dégagent beaucoup de particules qui polluent l'atmosphère et que leur quantité est limitée. D'où l'importance de trouver des solutions de rechange. En créant la plus grande serre de tomates au Québec, les Productions Horticoles Demers ont aussi misé sur le développement durable. L'infrastructure est installée près d'un des plus grands sites d'enfouissement de la province qui génère des biogaz. Ceux-ci servent de carburant pour alimenter des moteurs d'une centrale électrique érigée à Drummondville par les propriétaires du site. Ainsi, la chaleur dégagée par les moteurs est utilisée pour chauffer la serre. Demers n'a donc pas à utiliser des combustibles fossiles pour assurer la température ambiante nécessaire à la culture des tomates, ce qui lui permet d'éviter la production de près de 26 000 tonnes de gaz à effet de serre par année. https://www.fondsftq.com/fr-ca/particuliers/epargne-positive/exemples-developpement-durable
il y a 3 mois
Interdiction des feux de foyer extérieur au bois
Les changements climatiques ont des répercussions sur la qualité de l'air; l'augmentation excessive des feux de foyer extérieur au bois dans notre ville contribue, même saisonnière, à des niveaux élevés de particules fines polluantes qui ont des effets à long terme sur la santé de tous mais surtout chez les enfants, personnes âgées et ceux qui souffrent de maladie pulmonaire et cardiaque ainsi que sur la végétation et l'eau. La meilleure façon de s'adapter aux changements climatiques est de réduire les combustibles fossiles qui contribue aux émissions de gaz à effets de serre. Avec ce plan d'adaptation aux changements climatiques, donnons-nous le droit de vivre dans un environnement sain et respectueux de la biodiversite.
il y a 3 mois
Arrêter de déboiser, il ne nous reste déjà plus d'arbres... Protéger notre végétation, et en ajouter le plus possible !
On veut des arbres :)
